Infos locales
Saint-Brevin-les-Pins - Commerce. Jérôme, aux petits soins des vélos à l’Océan
Depuis le mois de janvier, Jérôme Durpoix a installé son atelier en plein bourg de l’Océan afin d’offrir « une meilleure visibilité aux Brévinois et vacanciers ».
Ayant travaillé avec des personnes en situation de handicap, puis fait quelques années d’enseignement en sciences et mathématiques, ce cycliste aguerri qui a côtoyé le niveau professionnel a choisi de poser ses valises dans la cité balnéaire afin de conjuguer sa passion et son travail. L’Atelierduvélo44 propose aux usagers un vaste service d’entretien et de réparation pour tous les types de vélos.
Qu’ils soient tout terrain, de route ou électrique, les deux roues n’ont plus de secret pour Jérôme, qui propose de partager son savoir-faire en organisant des ateliers mécaniques. Les plus jeunes bénéficient également des conseils avisés du gérant, qui intervient dans les écoles pour faire de la prévention.
Enfin, il est également possible d’acquérir un vélo par le biais de Jérôme qui met ses connaissances à profit des clients pour les « orienter vers un choix judicieux en prenant en compte leur pratique, leur pathologie et leur budget ».
Source : Le Courrier du Pays de Retz, 10/03/2023
Saint-Nazaire - Avec Chausséa, le Ruban Bleu confirme sa dynamique
Dans la série des bonnes nouvelles, le Ruban Bleu de Saint-Nazaire engrange depuis quelques semaines. Le directeur du centre commercial confirme l’arrivée du géant de la vente de chaussures Chausséa, à l’horizon de l’été prochain. L’enseigne de chaussures et accessoires va s’installer sur deux étages dans le local laissé vacant par le soldeur Max Plus qui a fermé fin février.
« La négociation est avancée avec plusieurs enseignes et cela confirme la tendance positive du moment », analyse Jean-Michel Sarget. Pour lui, l’arrivée d’une marque nationale connue est un très bon signal, « une offre que nous n’avions pas forcément, avec des chaussures de marque mais à prix réduits pour les hommes, femmes et enfants. » Sur ce même créneau, le Ruban Bleu avait accueilli l’enseigne italienne PittaRosso qui, « si elle était moins connue, dégageait tout de même une activité bénéficiaire. C’est une décision de la chaîne qui l’avait fait partir », se souvient le directeur.
Son centre commercial va donc connaître un printemps de travaux car d’autres magasins préparent leur arrivée : Monoprix évidemment, si possible avant l’été, mais aussi le cosmétique Rituals (ex-Décimas) et une boutique de prêt-à-porter plus haut de gamme, La Fée Maraboutée.
Pour les 15 ans de son ouverture, le centre revoit également son parcours client avec de nouveaux services, un espace jeu agrandi et le renouvellement du mobilier de pause. Si plusieurs locaux restent vacants, d’autres négociations devraient aboutir, promet le directeur. « On sera en ordre de bataille pour l’été. »
Source : Ouest-France, 17/03/2023
Châteaubriant - La bonne dynamique du centre-ville
« Le centre-ville est le principal employeur de la ville », soutient le maire de Châteaubriant, Alain Hunault. En effet, selon les derniers chiffres, 246 structures sont identifiées, elles représentent « près de 1 400 emplois dans ce périmètre », livre Romain Priou, directeur du pôle développement du territoire à la communauté de communes de Châteaubriant-Derval.
Même si certaines enseignes ont fermé dernièrement, les locaux vides sont moins nombreux qu’il y a encore cinq ans. « Il y a une bonne dynamique, atteste Romain Priou. Nous avons mis en place un dispositif d’accompagnement pour réduire la vacance commerciale en 2019.
Pour encourager la création de boutiques, la com’com a lancé le programme de « boutique test » : les porteurs de projet sont accompagnés pendant douze mois par la collectivité. Les six premiers mois, le loyer du commerce est pris en charge entièrement et les six mois suivants à hauteur de 50 %. « Nous étudions les projets, leur viabilité et nous validons leur business plan », ajoute le responsable. La Région accompagne le dispositif via une subvention non négligeable. En 2023, seize commerces ont déjà été accompagnés. Cet accompagnement fait partie intégrante du programme Action coeur de ville porté par la municipalité. Certes, Romain Priou ne le nie pas, certaines boutiques test ont dû fermer leurs portes. « Les projets évoluent au fil des mois, on cherche des solutions pour accompagner au mieux les porteurs de projet jusqu’au bout, avec la chambre de commerce et de l’industrie. Mais nous pouvons remarquer que le centre-ville revit ces derniers mois, avec aussi les animations qui ont repris après le Covid et des manifestations qui se sont créées. »
Source : Ouest-France, 5/04/2023
L’épicerie la Pause locale a ouvert ses portes, jeudi 6 avril, dans les anciens locaux de l’épicerie Goût et tradition. Ce nouveau commerce brévinois a été lancé par Antoine et Florence Gineau, propriétaire de leur ferme laitière, à Saint-Michel-Chef-Chef (Ouest-France du 28 février 2023). Celle-ci, qui vient d’obtenir deux récompenses, pour son fromage blanc et son yaourt au citron, au dernier Salon de l’agriculture, souhaitait élargir son implantation commerciale.
« La ferme Gineau possède déjà une boutique à Saint-Michel, ouverte depuis trois ans dans l’enceinte de la ferme. L’ouverture au cœur du centre des Pins va apporter une forte visibilité », espère Vanessa Gouy, responsable des boutiques.
« Nous avons fait le choix du local et du circuit court. Tous nos fournisseurs sont choisis avec soin pour la qualité de leur produit et leur procédé de production », complète la responsable. Les produits de 70 producteurs, tous situés à moins de 85 kilomètres de la ferme, attendent les consommateurs brévinois.
Source : Ouest-France, 10/04/2023
Le village de Pompas, éloigné de quelques kilomètres du centre d'Herbignac (commune de Loire-Atlantique à la frontière du Morbihan) n'avait plus de commerce depuis 3 ans et cela manquait terriblement aux habitants. Malgré une association qui fait le maximum pour l'animer, il manquait un cœur au village. Il vient de se remettre à battre avec l'arrivée de Fabienne Jeannot qui rouvre le café sous l'appellation « Pompasse ».
Originaire de Saint-Molf, la commune voisine, Fabienne a été dirigeante d'un camping, puis d'un village vacances et plus récemment d'un hôtel au Pouldu dans le Finistère. "Avec mon mari, on cherchait à se rapprocher de nos enfants qui habitent dans des communes différentes autour de Pompas. C'était l'occasion de revenir au pays".
"Nous avons la salle du bar et un petit salon à l'arrière. Et en plus de la terrasse devant, nous allons également installer la terrasse derrière, au calme", poursuit Fabienne Jeannot. En plus de son bar, elle apporte quelques services comme un dépôt de pains, avec deux boulangeries qui la fournissent, et une petite épicerie.
Elle propose aussi une planche apéro le soir et des concerts et karaokés sont prévus certains samedis soir. "Quant à la clientèle, il y a des locaux de toutes générations, le décor leur plaît. Je suis vraiment surprise de voir autant de monde", conclut la nouvelle patronne, comblée.
Source : actu.fr, 16/04/2023
L’avenue commerçante du Paquebot, en centre-ville, s’est garnie d’une nouvelle boutique : Pépites et Cie. Un magasin de prêt-à-porter et de décoration d’intérieur qui mêle le neuf à la seconde main.
Dans la vitrine de leur magasin, des vêtements, des bijoux, de la maroquinerie et de la déco. Des articles neufs et d’occasion. C’est là toute la particularité de leur boutique. « La seconde main, c’est super-tendance et l’associer au neuf, c’est un concept inédit à Saint-Nazaire », assurent-ils.
Côté neuf, le choix de vêtements est haut en couleur « et à prix raisonnables ». En matière de déco, l’enseigne collabore avec des marques de prestige, telles que Voglio Bene et ses teintures sur coussin ou encore Ibride et ses plateaux muraux. Chiner dans le magasin, c’est prendre le risque de tomber sur un chrysanthème décoré de perles et de diamants, sur une statue de Notre-Dame de Lourdes, maquillée style mariachi. Des objets atypiques, des pépites « que l’on ne retrouve pas ailleurs ». Pour tous les goûts et tous les budgets.
« En couple, c’est plus facile de se lancer », confient les Nazairiens. ? À eux deux, ils cumulent plus d’une cinquantaine d’années d’expérience dans le commerce. L’un était responsable de magasins, l’autre est bijoutière de métier. Leur complémentarité vient appuyer leur expertise en matière de seconde main : « On rachète cash ce que nous apportent nos clients. » Mais pas question de reprendre tout et n’importe quoi. « On fait notre choix, on recherche la perle rare, appuie Grégory Delepine.
À en juger par les va-et-vient dans le magasin, l’enseigne semble d’ores et déjà avoir trouvé sa clientèle. En tout cas, les premiers retours se veulent encourageants pour la suite. En continuant sur cette lancée, Séverine Pochon et Grégory Delepine pourraient même prochainement recruter un premier salarié.
Source : Ouest-France, 18/04/2023