DISTRIBUTION
Maïsadour lance ses supérettes du terroir
La coopérative Maïsadour (Delpeyrat, volailles Label rouge St-Sever, du Gers ou des Landes) lance une nouvelle enseigne de magasins de vente directe de ses produits du Sud-Ouest : L’Amour du terroir. En franchise. La première unité ouvrira ses portes le 9 octobre à Nîmes (Gard). Au total, six magasins seront créés d’ici fin 2022. "Le concept, testé depuis 2018 dans deux magasins pilotes à Paris et à Cannes, a donné de très bons résultats, explique Stéphanie Moussel, directrice marketing et commerciale vente directe de Maïsadour. Notre ambition est d’ouvrir une vingtaine de magasins d’ici trois ans partout en France dans les villes de plus de 20.000 habitants (Caen, Bordeaux, Bayonne, Lille…)."
Source : www.lineaires.com, 23/09/2021
Carrefour et Delipop : drives piétons robotisés
Carrefour annonce un partenariat avec Delipop, startup spécialisée dans la prise en charge logistique de commandes e-commerce alimentaires, afin de développer son offre de drives piétons robotisés. Après avoir passé sa commande sur le site carrefour.fr, le client pourra récupérer sa commande, qui aura été déposée dans un casier 100% robotisé. Le premier point de retrait sera disponible le 6 octobre à Paris 16e.
Source : pointsdevente.fr, 05/10/2021
Distribution : So.bio à la conquête de la France
Après quinze années d’existence, l’enseigne bio So.bio décide d’accélérer son développement en France. Avec l’aide de son propriétaire Carrefour, elle prévoit d’ouvrir 16 nouvelles boutiques d’ici la fin d’année. Ces ouvertures s’ajouteront aux 19 inaugurations réalisées en 2020.
Source : www.actu-retail.fr, 15/10/2021
Avec le système Go sans caisses, le géant du commerce électronique souhaite également écraser la concurrence hors ligne, semble-t-il. Selon City A.M., Amazon se prépare à s’attaquer au secteur des supermarchés britanniques, et souhaiterait aussi ouvrir des supermarchés en Allemagne, en Espagne et en Italie l'année prochaine.
Source : www.retaildetail.be,16/11/2021
Les nouvelles vocations des centres commerciaux
Les centres ne peuvent plus se définir seulement comme « commerciaux ». L’émergence d’autres besoins a été exacerbée par la pandémie. Désormais, c’est aussi pour se distraire, se cultiver, travailler, se soigner … que les clients viendront sur place. Ce sont des vitrines idéales pour la culture, l’artisanat, le monde associatif … et ils peuvent combler parfois la carence en équipements publics ou culturels de certains quartiers.
Source : www.lsa-conso.fr, 14/10/2021